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6 décembre 2024.

Arthur Ronald, qui a toujours été un ardent défenseur de la santé et du bien-être, puise dans ses décennies d’expérience en soins de santé pour assurer son rôle de membre du conseil communautaire de l’Équipe Santé Ontario de Frontenac, Lennox et Addington (ÉSO FLA). Arthur a toujours mis l’accent sur la collaboration dans la conception et la prestation des soins de santé, depuis le début de sa carrière en Écosse jusqu’à son rôle de directeur général de l’Hôpital général du comté de Lennox et Addington. Il croit fermement que les soins de santé efficaces sont « aussi forts que vos partenaires dans la collectivité ». Aujourd’hui, il s’engage dans l’ÉSO FLA et contribue à façonner un système de santé dans notre région qui met l’accent sur les partenariats, l’action civique et les soins globaux.

Quand Arthur a entendu parler de l’ÉSO FLA et de sa vision pour le modèle des maisons de santé, il a vu une occasion inédite d’apporter sa contribution et de poursuivre son engagement de longue date envers l’innovation en matière de soins de santé. À titre de membre du conseil communautaire, il s’engage à garantir que le modèle des maisons de santé soit accessible à tous les résidents de Frontenac, Lennox et Addington. Il envisage un système de santé où chaque résident de la région comprend les services dont il a besoin, des soins de base aux aides sociales, peut y accéder aisément et se sent capable de s’engager dans son propre parcours de santé.

 « Les maisons de santé offrent un avantage pour tendre la main à la population et commencer à expliquer ce qu’est la santé et comment les gens peuvent accéder au service dont ils ont besoin », explique Arthur. Il croit que ce modèle représente une transition des systèmes de santé traditionnels vers un système qui rend les soins de santé plus accessibles, globaux et connectés. Il est très enthousiaste à l’idée que le modèle des maisons de santé puisse réduire les visites inutiles aux urgences en servant de point de contact central pour les soins de santé et les services sociaux. Il espère avoir un système dans lequel les gens peuvent facilement cheminer pour répondre à leurs besoins de santé et être connectés à une variété de services offerts par une équipe multidisciplinaire de praticiens, afin de prendre en compte les déterminants sociaux sous-jacents et, en fin de compte, promouvoir de meilleures issues cliniques. « Ces [maisons de santé] constituent un point de contact pour tout type de service de santé nécessaire, et non seulement pour des soins médicaux. Elles peuvent aussi mettre les gens en relation avec des services sociaux et de bien-être plus larges. Elles font partie intégrante d’un modèle de soins connecté. » 

Arthur souligne le potentiel des maisons de santé pour répondre aux besoins de bien-être plus larges de la population – au-delà des problèmes de santé particuliers, « Les gens ont besoin d’un système de soutien local pour tout ce dont ils ont besoin », dit-il. « Je pense que les soins de santé sont bien plus qu’un simple traitement des maladies, » explique-t-il. « Les services de santé doivent tenir compte des facteurs plus vastes, de la sécurité alimentaire à l’isolement social, qui influencent tous la santé globale des personnes. » Arthur estime que les maisons de santé ont beau jeu de promouvoir la création de liens et de traiter les problèmes de santé sous-jacents et d’autres déterminants sociaux de la santé, notamment grâce à des partenariats et collaborations avec des organismes locaux et des prestataires de services sociaux.

En regardant vers l’avenir, Arthur espère que l’ÉSO FLA continuera de jouer le rôle d’ « intégrateur » de la région, en favorisant les liens entre les secteurs afin de répondre à un large éventail de besoins sanitaires et sociaux. Il espère également que l’ÉSO FLA jouera un rôle crucial dans l’intégration des soins à domicile au sein du modèle des maisons de santé, en renforçant les liens entre les services à domicile et les soins en établissement et en offrant un système plus intégré répondant aux besoins à la fois sanitaires et sociaux. Arthur croit que cette approche intégrée pourrait diminuer la nécessité de soins en établissement, en soutenant les personnes à domicile et en posant les bases de collectivités plus saines et plus résilientes.

 

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